L’obsolescence programmée (appelée aussi la désuétude planifiée ) est un principe qui fait couler beaucoup d’encre, notamment dans les milieux qui luttent contre la surconsommation et se battent en faveur de l’écologie. En effet, ce principe a des visées essentiellement commerciales et marketing et n’aide pas la planète ni le porte-monnaie du consommateur à mieux se porter.
Les fabricants réduisent en effet la durée de vie de leurs produits dans le but de pousser le consommateur à acheter du neuf quelques années voire quelques mois après l’achat d’un premier produit. Ce qui pourrait apparaître comme une arnaque est en fait tout à fait accepté et légal dans une société qui prône le « consommer toujours plus ».
L’obsolescence programmée peut se présenter sous différentes formes et sera en fonction des produits auxquels elle s’attaque. Certains produits comporteront des défauts induits sciemment par les fabricants ou seront faits à partir de matériaux de qualité moyenne, les rendant inutilisables après quelques années d’utilisation. Le nombre de mois ou d’années d’utilisation de l’appareil concerné est secrètement gardé : c’est pour cela que l’on peut se permettre de parler d’obsolescence programmée et non de défectuosité. Annie Léonard, dénonce le « Designed for the Dump » (conçu pour la poubelle, illustre très bien ce phénomène avec une vidéo : http://www.storyofstuff.org/movies-all/story-of-stuff/
D’autres constructeurs pratiqueront une obsolescence programmée moins évidente à déceler car agissant sur l’aspect psychologique du client. Ce type d’obsolescence programmée est particulièrement pratiquée dans le domaine de l’informatique et des nouvelles technologies qui, sitôt un nouveau produit sorti, préparent la version suivante sans laisser au client le temps de souffler et de profiter de son achat et en lui expliquant que son ancienne version doit être changée. Le cas est flagrant pour les téléphones portables qui sont remplacés en moyenne au bout de 20 mois.
Bien que l’obsolescence programmée soit fortement décriée, elle est pratiquée depuis des années. Alors que pour certains cette technique relève de la malfaçon voire de la malhonnêteté, les fabricants eux n’y voient que des techniques commerciales et marketing visant à vendre toujours plus. Autorisée par la loi alors que la surconsommation est plus que jamais présente, l’obsolescence programmée est un procédé qui n’est pas prêt de s’éteindre car les entrepirse s’en portent bien, et cela fait de heureux dans une économie où le seul indicateur de croissance reste le PIB.
Les fabricants réduisent en effet la durée de vie de leurs produits dans le but de pousser le consommateur à acheter du neuf quelques années voire quelques mois après l’achat d’un premier produit. Ce qui pourrait apparaître comme une arnaque est en fait tout à fait accepté et légal dans une société qui prône le « consommer toujours plus ». L’obsolescence programmée peut se présenter sous différentes formes et sera en fonction des produits auxquels elle s’attaque. Certains produits comporteront des défauts induits sciemment par les fabricants ou seront faits à partir de matériaux de qualité moyenne, les rendant inutilisables après quelques années d’utilisation. Le nombre de mois ou d’années d’utilisation de l’appareil concerné est secrètement gardé : c’est pour cela que l’on peut se permettre de parler d’obsolescence programmée et non de défectuosité. Annie Léonard, dénonce le « Designed for the Dump » (conçu pour la poubelle, illustre très bien ce phénomène avec une vidéo : http://www.storyofstuff.org/movies-all/story-of-stuff/
D’autres constructeurs pratiqueront une obsolescence programmée moins évidente à déceler car agissant sur l’aspect psychologique du client. Ce type d’obsolescence programmée est particulièrement pratiquée dans le domaine de l’informatique et des nouvelles technologies qui, sitôt un nouveau produit sorti, préparent la version suivante sans laisser au client le temps de souffler et de profiter de son achat et en lui expliquant que son ancienne version doit être changée. Le cas est flagrant pour les téléphones portables qui sont remplacés en moyenne au bout de 20 mois.
Bien que l’obsolescence programmée soit fortement décriée, elle est pratiquée depuis des années. Alors que pour certains cette technique relève de la malfaçon voire de la malhonnêteté, les fabricants eux n’y voient que des techniques commerciales et marketing visant à vendre toujours plus. Autorisée par la loi alors que la surconsommation est plus que jamais présente, l’obsolescence programmée est un procédé qui n’est pas prêt de s’éteindre car les entrepirse s’en portent bien, et cela fait de heureux dans une économie où le seul indicateur de croissance reste le PIB.
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